Pensées pendant la méditation ? Aller pêcher

  Pieonane, altéré par la photomanie

Source : Pieonane, altérée par la photomanie

De tous les phénomènes d’expérience qui embellissent ou terrorisent notre esprit lorsque nous sommes assis en méditation, les pensées peuvent être les plus difficiles à comprendre. Surtout pour le méditant débutant dans une tentative sérieuse de se concentrer sur l’acte humble de respirer, les pensées peuvent être vraiment distrayantes, si distrayantes que certaines personnes en ont marre, puis abandonnent. Un de mes étudiants possédant un aquarium a comparé cela à essayer d’observer un seul poisson-ange, ou le flux de bulles du petit mec en plastique dans la combinaison de plongée, comme une école de tétras néon zigzaguant et brouillant toute la scène.

Aider les patients et les étudiants à savoir quoi faire des pensées distrayantes en méditation, sans parler de nous-mêmes dans nos propres pratiques, pourrait nécessiter une certaine attention. Dans le but de garder la croisière courte (j’ai le mal de mer), cet article couvrira la nature des pensées d’un perchoir à l’œil de l’esprit (heh). Les pensées qui surgissent laissent des ondulations de réactivité que nous pouvons devenir plus aptes à reconnaître via une pratique consciente. L’alternative est (attendez-le…) pataugeant dans la distraction.

Entrez avec moi un instant, juste pour le flétan. Je m’excuse pour les jeux de mots aquatiques; Je ne peux pas vraiment l’alléger.

Lancez les images, Le Capitaine Cousteau. Zee Une pensée nage dans le paysage aquatique de notre conscience actuelle. Comme tout autre présage fin de l’esprit (aïe), nous y réagissons, souvent avec un mélange de ton physique et émotionnel.

A lire aussi  Les éléments constitutifs de l'espoir

(Mélange de métaphores, en Pleine Conscience Pratique, j’ai résumé cela comme la “bande sonore” de la “vidéo” basée sur la pensée de l’événement. De retour dans la piscine, les enfants.)

Juste pour compléter mais peut-être compliquer la (pi-)scène, cette réaction ou “tourner” sur la pensée comprend souvent… plus de pensée. Oui, pensé à une pensée. C’est généralement un jugement secondaire de la pensée : sur sa validité, ou son association à d’autres pensées et sentiments. Certaines de ces réactions attrapent le gros, mais d’autres sont louches en termes de précision.

Donc : une simple pensée n’est pas si simple. Chacune implique, au moins en théorie, une école de réactions liées dans le corps, le cœur et la tête. Répétez ces [event, reaction(s)] assez de couples et ils peuvent devenir conditionnés ensemble, un paquet étiqueté comme “c’est à moi”. Pour superposer plus de réactivité, un autre jugement peut suivre, jugeant ce paquet et son effet : souvent un bouleversant, frustrant, “ça encore, dans ma tête”. Une perle d’événements et d’effets accumulés – événement, réaction, jugement – est encore plus difficile à observer et à identifier.

Surtout s’ils sont recyclés tôt et souvent dans l’enfance, nous pouvons profondément nous identifier à ces « ensembles de modèles » de pensée/réaction par leur récurrence et leur renforcement persistants. Cela est particulièrement vrai pour nos pensées sur nous-mêmes. L’identification devient personnelle et étroitement liée. “C’est à moi” devient “c’est moi”. Ces balanes sont souvent des distorsions en termes de validité, mais sont étroitement liées à nos coques par renforcement. Ils deviennent de plus en plus difficiles à éliminer en termes de notre auto-définition.

A lire aussi  Une mise à jour sur la capacité de la marijuana à traiter la douleur chronique

Que faire, à part une chasse aux baleines insensée à la Achab ? Mettre le bateau en cale sèche ? (Ou, couler ?) C’est pour le prochain article : quelques tactiques pour gérer les pensées qui empiètent sur la méditation. En surfant sur la métaphore marine, une astuce clé est … attraper et relâcher. Et parfois, se transformer en vague vaut la peine d’être essayé.